Chers membres, nous vous proposons d’assister à la conférence

 La cathédrale de Strasbourg : le monde fascinant des dragons

Le 08 décembre 2025 à 15h00

À la Bibliothèque nationale et universitaire (BNU)

6 place de la République – 67070 Strasbourg

Avec Jean-Paul Lingelser, ancien ingénieur d’études au CNRS et Président honoraire de la Société des Amis de la Cathédrale de Strasbourg. Rencontre proposée par la Société des Amis des Arts et des Musées de Strasbourg (SAAMS). Auteur de nombreux travaux sur la cathédrale de Strasbourg, Jean-Paul Lingelser nous propose, à travers cette conférence, de nous pencher sur les dragons, si nombreux à la cathédrale. C’est un monde foisonnant révélant un Moyen Age tourmenté et superstitieux. C’est toute une typologie qui est à découvrir dans les nombreuses représentations.

Cette conférence sera suivie de la visite guidée:

 

Le Concert des anges

Le concert des anges est une exposition qui croise, pour la première fois, les approches et résultats de différentes disciplines autour de la question des anges musiciens représentés au Moyen Age. Philosophie, théologie, histoire de l’art et musicologie sont ainsi mobilisées pour éclairer cette histoire, particulièrement connue en Alsace du fait du pilier des anges musiciens de la cathédrale de Strasbourg. À côté de ces disciplines théoriques, l’exposition explore aussi la facture d’instruments qui trouve dans ces représentations une source de renseignements très précieuse.

Visite limitée à 20 personnes. Inscription obligatoire auprès du secrétariat par mail à saams@orange.fr ou par téléphone au 03 88 32 15 48.

Nous vous proposons deux visites guidées sur le thème:

« Un passé incontournable. Découvertes archéologiques de l’A355 » 

à la galerie Heitz, palais Rohan,  2 place du Château, Strasbourg

Les mardis  7 et 14 octobre à 14h30

(Merci de préciser la date de votre choix lors de la réservation)

Visite limitée à 20 personnes, inscription obligatoire auprès du secrétariat par mail à saams@orange.fr ou par téléphone au 03 88 32 15 48.

« Pour la première fois, cette exposition dévoile les découvertes faites lors des fouilles archéologiques menées avant les travaux du Contournement Ouest de Strasbourg. Elle résulte d’un partenariat entre la Direction régionale des affaires culturelles du Grand Est, le service régional de l’archéologie, et le Musée Archéologique de Strasbourg, et bénéficie du label Exposition d’intérêt national du ministère de la Culture. L’exposition « Un passé incontournable » met en lumière ces découvertes sous différents angles, depuis la formation des paysages au Paléolithique jusqu’aux sépultures intimes d’hommes, de femmes et d’enfants. Ces témoignages inédits enrichissent considérablement notre compréhension des sociétés passées. De plus, le public peut découvrir les nouvelles méthodes et technologies qui aident les archéologues à mieux comprendre ces sociétés, leur environnement et l’évolution du climat en plaine du Rhin. »

La précédente édition ayant été un succès, nous vous proposons à nouveau de

plonger dans un univers 18ème et son art de vivre.

Au cœur de Strasbourg le temps s’est arrêté !…

Un couple de Strasbourgeois, passionné de meubles et objets de cette époque, ont plaisir à faire découvrir leur intérieur aux membres de notre association,

lors de deux visites le samedi 4 octobre à 17h45, puis à 19h00.

(Merci de préciser l’horaire choisi lors de la réservation).

 

Visite limitée à 15 personnes. Inscription obligatoire auprès du secrétariat par mail à saams@orange.fr ou par téléphone au 03 88 32 15 48.

 

Nous vous proposons une visite guidée de la collection permanente

du musée Vodou, 4 rue de Koenigshoffen, 67000 Strasbourg,

Le jeudi 18 septembre à 14h30.

 

« Le Château Vodou est un musée privé atypique : il présente la plus grande collection d’objets vodou ouest-africains au monde.

Implanté dans un écrin exceptionnel, un château d’eau de 1878, il est géré par une association.

Le Vodou est une religion qui englobe un vaste champ de pratiques, de rituels et de croyances. Il est originaire d’Afrique de l’Ouest et il puise plus précisément ses racines dans l’ancien royaume du Dahomey. Il s’est fixé dans la forme que nous lui connaissons aujourd’hui aux alentours du XVIIème siècle.

Il encadre les moments clefs de la vie (naissances, unions, morts) mais vise aussi à guérir les maladies. Elle vise à maintenir une harmonie entre le monde visible, terrestre, de la nature, et le monde invisible des divinités et des ancêtres via la divination du Fa, des cérémonies, mais aussi des objets de culte.

Tous les objets présentés ont été utilisés dans des pratiques religieuses. La collection de plus de 1400 objets appartient aux fondateurs du musée : Marc et Marie Luce Arbogast. »

Visite limitée à 25 personnes, inscription obligatoire auprès du secrétariat par mail à saams@orange.fr ou par téléphone au 03 88 32 15 48.

 

Nous vous proposons une visite de l’exposition

  « La bibliothèque des images. Livre et arts graphiques en dialogue (XIXe-XXIe siècles) »

qui se tiendra au MAMCS, 1 place Hans-Jean Arp Strasbourg

le mardi 24 juin à 11h00.

Visite limitée à 20 personnes, inscription obligatoire auprès du secrétariat par mail à saams@orange.fr ou par téléphone au 03 88 32 15 48.

 

L’image imprimée et le livre partagent une histoire commune, explorant ensemble de nouveaux territoires graphiques et littéraires, redéfinissant constamment leur relation texte-image. Cette présentation, qui met en dialogue les collections de la Bibliothèque des Musées et du MAMCS, retrace ces rencontres, de l’illustration du XIXe siècle au livre de bibliophilie moderne.

Les avant-gardes ont tissé des liens forts entre écriture et dessin, avec des poètes comme Apollinaire et Tzara, et des artistes tels que Picabia et Schwitters, effaçant les frontières disciplinaires. Le livre devient un lieu de coopération entre écrivains et artistes, où l’image et l’écriture se rejoignent. Hans-Jean Arp mêle poésie et gravure, tandis que Marcel Broodthaers transforme le poème en objet graphique.

Au début du XXe siècle, la lithographie en couleurs propulse l’affiche et les revues illustrées, favorisant l’internationalisation des arts appliqués. L’art nouveau réunit les recherches ornementales de Mucha et Grasset avec l’historicisme de Sattler et Amiet. Les techniques traditionnelles, comme la gravure sur bois, continuent de se réinventer, notamment avec les romans gravés de Masereel et Ward.

L’image imprimée accompagne aussi les mouvements politiques, de Daumier à l’Internationale Situationniste, avec des photomontages comme ceux de John Heartfield. L’émergence du livre photographique, avec Cartier-Bresson et Florence Henri, capte les transformations sociales de l’époque.

Cet accrochage explore ces rencontres à travers des moments historiques clés et des connexions inattendues, mettant en lumière des enjeux communs d’œuvres parfois très éloignées.

Commissariat : Franck Knoery, conservateur de la Bibliothèque des Musées de Strasbourg, Thierry Laps, assistant scientifique au Musée d’Art moderne et contemporain de Strasbourg.

Nous vous proposons une visite de l’exposition des oeuvres de Marie-Amélie Germain, ancien Prix Théophile Schuler,

qui se tiendra à l’Alliance Française, 12 rue des Pontonniers, Strasbourg,

le samedi 17 mai à 10h00.

La visite sera donnée par l’artiste.

Visite limitée à 20 personnes, inscription obligatoire auprès du secrétariat par mail à saams@orange.fr ou par téléphone au 03 88 32 15 48.

 

« La cabane, l’humain en creux

Avant d’être un motif de peinture, le jardin familial a été pour moi un espace grâce auquel je pouvais accéder à la tranquillité de la nature mais aussi aux bienfaits de la terre pour peu qu’on acceptât de s’en occuper un peu. Mon rapport à ces quelques mètres carrés de pelouse et de potager se révélait donc conforme à la vocation première des jardins, autrefois appelés “jardins ouvriers”, mis en place en Alsace dès le début du XX e siècle. Il s’agissait alors de permettre aux familles des classes populaires de se fournir en fruits et légumes…De cette expérience pratique allait pourtant naître une série de peintures et dessins sur laquelle je travaille depuis quelques années. Le jardin, à travers son objet le plus emblématique, sa cabane, constitue en effet un thème aux multiples entrées. Nul doute que mes interventions à l’École nationale d’architecture de Strasbourg aient sollicité mon attention à l’égard d’une structure vernaculaire des plus inventives. Ce qui me frappe dans ce labyrinthe d’espaces individuels, c’est la dynamique collective qui en émane. Dynamique de milieux, de générations, de pays, de diversités culturelles. Mes voisins viennent de tous horizons, on y entend toutes les langues: le turc, l’iranien, le russe, le croate, l’arabe, le grec, l’italien, le tchétchène… et bien sûr l’alsacien ! Une joyeuse tour de Babel dans laquelle s’ancre la plus élémentaire des solidarités, la plus manifeste des convivialités. Mais par delà ces différences, ces histoires, dont certaines furent difficiles, demeure cet objet, la cabane, comme une métaphore de l’abri. Que son usager vienne d’Anatolie, du Maghreb, des Pouilles ou de la Robertsau, elle n’affiche aucune différence originelle. Elle s’impose dans une neutralité, faite de bric et de broc, qui est celle d’un lieu renvoyant à sa seule fonction: entreposer un matériel et de quoi passer quelques heures agréables en plein air pour des citadins reclus en appartement. Et puisqu’il s’agit aussi de peinture, la cabane, par son cadre naturel, constitue aussi une façon singulière, contemporaine, de traiter le thème du paysage. La tradition y est à la fois maintenue et détournée. Par cette construction pauvre de planches et de matériaux de récupération, l’Homme y figure en creux. On y imagine les scènes familiales qui s’y déroulent le week-end venu. Des tranches de vie, avec pour témoins ces cabanes qui se transmettent dans un petit coin de l’agglomération strasbourgeoise en jouant à saute-frontières au fil du temps. »

Marie-Amélie Germain

Après avoir été ensemble à la découverte de l’Emilie-Romagne en avril 2024, c’est

« Berlin, une capitale européenne d’art et de culture »

que nous avons découverte, ou redécouverte, du 24 au 27 avril, en compagnie de notre guide-conférencier Patrice Mauriès, toujours très apprécié par les participants à nos voyages proposés en partenariat avec Terra Nobilis.

 

Nous vous proposons une sortie à la journée, en car, dans le Haut-Rhin,

le mercredi 26 mars 2025.

Dans les environs de Colmar, entre Vosges et vignobles, ont été érigées de remarquables églises entièrement ou partiellement romanes : l’église paroissiale de Hattstatt, Sainte-Colombe, la collégiale de Lautenbach et l’ancienne abbatiale de Murbach, qui marquent l’apogée de l’art roman de la deuxième moitié du XIIe siècle en Alsace.

Le magnifique retable de Buhl datant du XVe siècle, permettra une lecture détaillée de la Passion du Christ.

Ce retour au Moyen Âge révélera un patrimoine exceptionnel.

Visites guidées dans le Haut-Rhin, retour au Moyen-Âge

PROGRAMME

 

08h15:         Rendez-vous place de Bordeaux devant l’entrée principale du lycée Kléber

08h30:         Départ de l’autocar

                        Visite de l’église Sainte-Colombe de Hattstatt

                        Visite de l’église Saint-Jean-Baptiste de Lautenbach

12h30 :        Déjeuner au restaurant Les Terrasses du Domaine du Lac

14h30 :        Visite du retable de l’église Saint-Jean-Baptiste de Buhl

                        Visite de l’église Saint-Léger de Murbach.

17h30 :        Départ de l’autocar vers Strasbourg

19h00 :        Arrivée à Strasbourg